Une ambiance crispante…
Alors que, suite au Rapport Libault, on allait voir ce qu’on allait voir, tout semble retomber à plat comme un soufflé. Est-il temps de commencer à s’en inquiéter ?
Où en est-on ? Y a-t-il un pilote dans l’avion ? Pourquoi tout semble en stand-by ? Voici quelques-unes des questions qui taraudent les acteurs du secteur depuis la rentrée.
Car il faut bien l’avouer, à l’enthousiasme printanier post-rapport Libault a succédé une humeur automnale bien maussade. Pour une raison simple : plus personne ne comprend rien aux atermoiements de l’exécutif et, surtout, à la méthode qu’il souhaite employer pour arriver à bon port.
Après les déclarations d’amour, des preuves d’amour…
Certes, Edouard Philippe a indiqué en juin au Parlement que la loi Grand Âge serait un « grand marqueur social du quinquennat, peut-être le plus important ». Certes, Agnès Buzyn a indiqué de nouveau qu’un texte serait présenté en Conseil des Ministres avant la fin de l’année sans préciser s’il s’agirait du projet de loi lui-même ou d’une communication indiquant les grands axes d’une loi qui de toute façon ne sera pas débattue à l’Assemblée Nationale avant Avril-Mai.
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