Secteur associatif :
les prémisses d’un Big Bang
Voici quelques mois, le Mensuel des Maisons de Retraite faisait sa « une » sur un possible Big bang dans le secteur associatif. A l’évidence, celui-ci a commencé. Récit.
Le mercredi 13 novembre, Laure de la Bretèche, directrice déléguée à la Caisse des Dépôts, devenait présidente d’Arpavie en remplacement de Michel Chatot qui officiait depuis 2012. Normalement, une telle transition donne lieu dans votre journal préféré à un petit écho dans la rubrique Actualités. Sauf qu’ici, cette nomination a une autre signification : elle marque le début des grandes manœuvres qui pourraient affecter le secteur privé à but non lucratif dans les prochaines années et dont Arpavie pourrait être le navire-amiral.
Arpavie, Adef, Partage & Vie : la Caisse des Dépôts à la manœuvre
Arpavie, c’est en effet aujourd’hui une flotte de 124 établissements, composée de 78 résidences-autonomie mais seulement de 46 Ehpad, ce qui, dans le seul segment des établissements médicalisés, place l’association, fruit en 2016 de la fusion entre Arepa et Arefo-Arpad, loin derrière la Fondation Partage & Vie ou SOS Séniors. En décidant de nommer à la présidence d’Arpavie une dirigeante du calibre de Laure de la Bretèche, la Caisse des Dépôts a donné un signal fort : elle veut désormais prendre ses responsabilités dans le secteur médico-social.
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