
Quand les sociologues s’intéressent à la vieillesse
Mélissa Petit, Valentine Trépied, Marion Villez : trois représentantes de cette nouvelle génération de sociologues qui s’intéressent au vieillissement. Dans l’enceinte de l’Université ou, faute de postes, de plus en plus souvent en dehors, elles sont les héritières d’une « école » qui a progressivement émergé au cours des dernières décennies.
Combien de fois n’avons nous pas entendu la sempiternelle remarque sur nos facs françaises, véritables usines à chômeurs, parce qu’elles regorgent d’apprentis psychologues et sociologues ? Au Brésil, une des premières décisions du nouveau président brésilien d’extrême-droite, Bolsonaro, a consisté à diminuer les crédits des filières de philosophie et de sociologie. En France, les sciences humaines et sociales continuent de se trimballer le doux sobriquet de « sciences molles » en comparaison aux « sciences exactes ».
Au moment où les sciences dites dures évoluent à une vitesse exceptionnelle, il n’a pourtant jamais été aussi urgent de comprendre notre société et ses évolutions. Alors si opter pour la sociologie n’est paradoxalement pas chose facile, imaginez quand, en plus, on choisit de se spécialiser sur la sociologie… du vieillissement.
Pour lire l'intégralité de cet article,vous devez être abonné
au magazine Le Mensuel des Maisons de Retraite : |
||
Déjà abonné ? Connectez-vous | ||
|
||
|
Retour aux actualités