Miser sur l’architecture pour préserver l’autonomie des résidents
Un aménagement plus personnalisé peut grandement contribuer à maintenir l’autonomie des résidents, encore faut-il surmonter un certain nombre de réticences notamment du côté des professionnels…
Quel impact de l’architecture sur l’autonomie des résidents ? La question peut paraître saugrenue. Elle est pourtant au centre des réflexions de nombreux architectes et designers, notamment lorsqu’il s’agit d’envisager les contours de l’Ehpad du futur. En effet, si l’on entend la notion d’autonomie au sens premier du terme (auto-nomos ; vivre selon sa propre loi – au sens de l’autodétermination), l’architecture peut offrir de nombreuses opportunités de choix, avec des espaces ayant des qualités différentes. « De la même manière, lorsque l’on appréhende l’autonomie dans sa dimension fonctionnelle (la capacité pour les personnes à effectuer seule les actes de la vie quotidienne), l’aménagement des lieux peut avoir un impact très fort », explique Fany Cérèse, docteur en architecture associée du cabinet AA Conseil.
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