Les richesses méconnues des médecines complémentaires alternatives
Les médecines complémentaires alternatives (MCA) connaissent un engouement grandissant depuis plusieurs années. Pourtant, leurs vertus demeurent encore méconnues, notamment dans le secteur des personnes âgées. Coordinateurs d’un récent ouvrage sur le sujet (voir encadré), le sociologue Serge Guérin, la chercheuse Véronique Suissa et le docteur Philippe de Normandie, apportent quelques clés de compréhension.
Difficile de dire clairement ce que l’on range sous le terme de médecines complémentaires et alternatives (MCA). Il n’y a pas « une » mais « des » définitions… De même qu’il n’existe pas de classification « de référence », elles sont multiples. Selon la classification à laquelle on se réfère, une pratique sera ou non considérée comme une MCA. Pour clarifier le terme de MCA, il faudrait également pouvoir délimiter ce que l’on entend par « médecine conventionnelle » et « médecine non conventionnelle », démarche qui apparaît complexe au regard du mouvement d’intégration de certaines pratiques dans notre système de soins. Pour apporter des repères, on pourrait les définir comme un ensemble hétérogène de pratiques, plus ou moins éloignées des conceptions médico-scientifiques incluant des méthodes validées, insuffisamment éprouvées, douteuses, voire dangereuses.
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