L’édito qui n’a pas fait pschitt…
Il n’était qu’un parmi des centaines d’éditos signés ici. Mais il a provoqué suffisamment de réactions pour y revenir ici.
Depuis près 25 ans, je m’adonne dix fois par an à cet exercice stimulant consistant à écrire un éditorial de 3500 caractères en page 3. Je tente d’y décrypter l’actualité parfois de façon sérieuse, de temps en temps avec une pointe d’ironie ou encore avec un zeste de révolte.
La plupart du temps, ils n’ont vocation qu’à être lus par les abonnés que vous êtes. Il arrive à intervalles réguliers qu’en plus de les lire vous les commentiez en nous adressant des mails ou des messages. Pour dire votre soutien ou votre opposition à tel ou tel jugement.
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