
Haro sénatorial sur la baisse des emplois aidés
« Il y a une brutalité qu’on ne peut pas accepter » : ces mots sont ceux du sénateur socialiste Jacques-Bernard Magner pour qualifier la baisse du nombre des emplois aidés.
Avec son collègue Alain Dufaut (LR), le parlementaire s’était vu confié une mission d’information sur les conséquences de cette baisse. Présenté mercredi 21 février, le rapport issu de ladite mission pointe des « effets désastreux » de la décision gouvernementale de réduire ces contrats.
Et prend l’exemple des Ehpad où « 12.500 bénéficiaires de contrats aidés travaillent et s’occupent de l’accueil, des espaces verts, de l’animation ou encore aident dans les cuisines ». Déjà affaiblis par une pénurie de personnels pour la plupart, « Certains, qui n’avaient pas les moyens d’embaucher, travaillaient avec des emplois aidés pour l’accompagnement. C’est du personnel de lien social ». Un constat qui fait désordre à l’heure de la dénonciation de la « maltraitance institutionnelle » et d’une robotisation des tâches.
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