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© Patrick Dagonnot

15 décembre 2021

Entretien avec Nathalie Salles, présidente de la SFGG

Nathalie Salles est, depuis le 18 novembre, la nouvelle présidente de la SFGG, succédant au professeur Olivier Guérin. Professeure des universités et praticien hospitalier en gériatrie au CHU de Bordeaux où elle est chef du Pôle de gérontologie clinique, grande spécialiste de la télémédecine, elle nous livre sa vision de la gériatrie et de la gérontologie de demain.

Le Journal du Médecin Coordonnateur : Vous êtes désormais la nouvelle présidente de la SFGG. Quel bilan peut-on tirer de l’action de  cette institution durant la crise ?

Nathalie Salles : L’un des tous premiers apports de la SFGG durant cette crise a été d’avoir fait de la gériatrie une discipline médicale reconnue. L’entrée d’Olivier Guérin, mon prédécesseur, au sein du Conseil scientifique a contribué à mettre fin à une forme de paradoxe : alors que le virus touchait principalement les personnes âgées, aucun représentant de ceux qui les soignent n’était présent au Conseil. C’est désormais chose faite. Mais au-delà de cette nomination, la crise a donné l’occasion à la SFGG de renforcer les temps de « brainstorming » avec l’ensemble de ses composantes (CNP, CNEG, ODPC…) et de croiser toutes les visions pour être plus lisible. Cette étroite collaboration, qui s’est concrétisée par des rencontres très régulières durant la crise sanitaire, nous a permis d’être très réactifs, voire même créatifs, avec des actions basées sur un esprit de solidarité.

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