ARS Ile-de-France : de Rousseau à Verdier
En 2018, il arrivait à la tête de l’ARS Ile-de-France auréolé d’une réputation de gars drôle et brillantissime acquise notamment à la Ville de Paris ou au cabinet de Valls à Matignon.
Il faut dire qu’il succédait au pâlichon Christophe Devys qui, pour compétent qu’il était, n’avait pas su prendre le costume de son prédécesseur Claude Evin. Dès son arrivée donc, l’énarque à l’accent méridional, a marqué son territoire. Mais il ne savait pas qu’il allait vivre quelques mois plus tard la plus grave crise sanitaire qu’ait connu l’Ile-de-France depuis des décennies.
S’il faut de grands évènements pour que se révèlent les grands hommes, alors la Covid-19 a permis de découvrir l’immensité du talent et du charisme d’Aurélien Rousseau. Immédiatement sur le front, il a été un chef d’équipe galvanisant ses troupes à l’ARS, un solide soutien pour le Ministre quand le navire tanguait et un formidable pédagogue en direction des franciliens lors de ses interventions radiophoniques remarquées ou dans ses centaines de tweets.
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